Bon, je vous aurais bien raconté comment je n'ai pas mangé de dinde (je ne suis pas une cannibale) mais de la pintade (ah si, finalement) ou pourquoi j'ai repris un verre de (bon) rouge, mais je vois que vous avez tous filé... Oui, mon ego de blogueuse-à-trois-lecteurs en prend un coup, je ne lis plus quatre, plus trois, plus deux, plus un...
[Roulement de tambour]
(J'ai fait speaker de cirque, dans une autre vie)
... mais zéro commentaire, alors bon, j'ai un peu l'impression de parler à un mur. Et vous savez bien qu'il n'y a que sur facebook où on peut parler à un mur sans avoir l'air débile (quoique).
Donc, je ravale ma fierté, je fais celle qui devient alzheimer sur son blog et je prends un air digne : "ouais, j'ai un truc sur le ouebe, là, j'y vais de temps en temps... " Alors que l'un de mes premiers réflexes le matin est d'aller vérifier les commentaires (Oui, je sais, on ne va pas reparler du côté pathétique de mon quotidien).
Alors, j'oublie tout, je démarre mon hibernation parce que la vie, elle est vraiment trop injuste (j'ai aussi été caliméro dans une autre vie), je colle des bougies partout (pas avec de la vraie colle, les gars, c'est une expression, en vrai je me brûle avec des allumettes avant de faire venir la petite flamme), j'ai mis de la musique douce et funky (si si, c'est possible), je sirote du thé brûlant, mon ordi sur les genoux (c'est pas comme si j'avais deux bureaux) et je bosse sur Poney (pas le faux cheval, vous le faites exprès ou quoi?).
Mais j'arrête: je vais encore me prendre du vent. Je parle à un mur.
Je peux même pas saouler mon Loulou, l'est pas là. Comment ça, je l'ai déjà dit? Bah vous voyez que vous suivez? Ah, c'est vrai, y'a personne (impression de devenir dingue à parler toute seule).
Je crois que je deviens dingue, en fait (ou l'étais-je déjà? J'ai comme un doute).
Vive les vacances, tiens.
Ah, on me dit que 3615mylife, c'est lassant?
Tiens, j'y avais pas songé;)
Ah au fait: je précise que ce post n'a rien d'un appel au secours et je ne suis pas sur un balcon en jurant de m'y jeter si aucun commentaire n'est écrit d'ici demain. Dehors, y'a la guerre et des idiots, c'est plus pire comme dirait Loulou.
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Articles
Bon, je me lance!
RépondreSupprimerOn t'aime, la mouette!!!! On aime tes posts et, si tu devais arrêter ton blog, saches que tu aurais une armée de fidèles à te harceler, voir à débarquer chez toi pour que tu continues, non mais!!
En tout cas, il est parfois (souvent?) très difficile de commenter tes posts. Ben oui, tu mets la barre super haute, on a pas un style aussi bon que le tiens (je parle pour moi, là! Je ne cherche pas à offenser les autres!).
Bref, on t'aime et on en redemande, du 3615tavie!!
Euh ouais, tout pareil qu'Anne-Lise !
RépondreSupprimerDésolé de ne pas avoir commenté un temps durant, j'étais parti pour Noël (ce que je me suis fait ch..., d'ailleurs) et sur place, il n'y avait pas internet. Alors je rattrape mon retard ce matin.
Comment ça, pas une excuse valable ? (sourire)
Bises, la Mouette.
Thierry
Ahhh, la paresse du lecteur... Ahhh, l'agacement du blogueur de voir que ce qu'il vient de pondre suscite si peu de réactions... on peut dire que ce sont des choses que je ne connais que trop, Stéphanie !
RépondreSupprimerEt comme je te comprends...
Et en même temps que je te comprends - n'étant pas à un paradoxe près - j'avoue que je fais moi aussi partie de ce bataillon de lecteurs « radins », assez lâches pour se plaindre (intérieurement, faut quand même pas déconner) d'une mise à jour un peu moins soutenue du blog... mais tout en ne voulant pas savoir que tu puisses avoir besoin de feed-back, que tu te nourris de la réaction des autres.
Alors oui, Anne-Lise, même si on n'est pas aussi à l'aise que la Mouette avec l'écriture, ça n'empêche de lui faire un petit coucou de temps en temps, façon de lui monter autrement que le compteur des visites journalières, combien son blog nous tient à cœur !
Et que ça te plaise ou non Steph, sache que tu fais partie de la famille de pas mal de gens maintenant ! Ce qui implique que bien entendu, tu aurais gite et couvert si tes pas devaient à nouveau te conduire sur Vichy. Ça va peut-être sans dire, mais ça va toujours mieux en le disant... alors je le dis.
Bisous, et excellentes fêtes. ;-)
Olivier.
Alors là, mon ego de blogeuse est remonté comme jamais! De façon très narcissique, je fais comme sur FB: j'aime, j'aime, j'aime!
RépondreSupprimerJe me plains mais de la même façon, je fais ma petite souris sur d'autres blogs, sans oser ou plutôt sans trop voir l'intérête de mon commentaire. J'ai eu ma dose, j'ai aimé ou pas et je passe mon chemin, et puis voilà tout. Mais comme tu l'expliques si bien, ô toi mon inspirateur de blog -ben oui, c'est toi qui m'a donné l'envie de me lancer, et la découverte du blog Café Clochette a fait le reste - ce feedback est très, très important. Alors, quand le "0 commentaires" (avec la faute en plus) s'affiche, je vis un petit moment de solitude parce qu'après tout, si on écrit pour soi, avant tout, le partage, c'est quand même drôlement plus stimulant!!
Merci à tous, en tout cas, merci à toi Anne-Lise, de t'être lancée, ton avis compte d'autant plus du fait du contexte de notre rencontre (en gros, tu connais tous mes points faibles, pas vrai?;)); merci à toi l'oiseau, pour ta fidélité inégalable, sois juste moins indulgent avec moi, que tu ne peux l'être parfois (!!) et merci Olivier, pour tes mots et pour l'invitation, que j'accepte avec grand, grand plaisir, et que je retourne, parce que Nantes et l'Océan Atlantique, c'est aussi pas mal...
Bizz !
Moins indulgent ???????????????????
RépondreSupprimerTu connais certainement l'histoire de Esméralda et Quasimodo, n'est-ce pas ?
Oui, mais je ne vois pas le rapport ? Attention, dialogue de sourds!
RépondreSupprimerJe voulais parler là de ta tendance à "enguimauver" parfois certaines situations ou à me dire que, de toute façon, ça allait marcher, alors que cela était clairement inconcevable...
ou que j'étais marvellous, alors que ceci est clairement faux. Tu vois bien:)
Mais c'est gentil de ta part, à la base (je dois avoir un problème avec la gentillesse).
Ma pauvre Mouette...mais il sont là, tes lecteurs fidèles ! même que quand ils ont pris du retard, comme moi, ils rattrappent TOUT ! Nous sommes là, bien là. Ne te sens pas seule, tu ne l'es pas. Et nous aimons te lire.
RépondreSupprimerY a juste que des fois, la vie nous empêche.....