Pour la première fois, je pense, depuis longtemps, je vais au Mans sans dire "je retourne au Mans". Rien à voir avec la sage prévention d'un mouvement auto-reverse propice au lumbago, j'ai fait wonder woman dans une autre vie (mais sans la culotte moulante, j'ai de la décence -et du réalisme plein mes neurones- moi, les gens).
Je file voir Poney pour un aller-retour express avant un week-end nantais qui s'annonce studieux, mais pas que (enfin, wait & see, avec ma veine, mille choses peuvent survenir) et je vais au Mans comme j'irais dans n'importe quelle ville. OK, je triche un peu, j'en profite pour voir des amis, vite fait, en coup de vent, alors c'est pas du jeu, mais enfin, ce que j'essaie de dire, mal, certes (la retranscription sur l'intérêt du nucléaire m'a tuer, hier soir, comme dirait la dame d'Omar), c'est que j'ai l'impression d'être à mille lieux de cette vie-là aujourd'hui.
Je crois qu'on peut parler d'une page tournée. Et la bonne nouvelle, c'est qu'aucune douleur ne l'a accompagnée.
Allez, un petit auto-reverse pour fêter ça... Enfin, doucement, quand même, s'agirait pas de casser la machine.
vendredi 8 avril 2011
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et youpiiie ! ça c'est de la bonne nouvelle ! l'arrose pas trop quand même, hein...:)
RépondreSupprimerAnne m'enlève les mots de la bouche. Allez, bonne journée et bon week end,.
RépondreSupprimerBises, la Mouette.
Thierry