dimanche 25 juillet 2010

Quand j'appuie sur pause...

Dormir.

Respirer.

Évacuer le stress peu à peu, décompresser.

Me souvenir que la pression, c'est ce qui sert à gonfler les pneus (dixit un grand philosophe, Charles Barkley, fantastique... joueur NBA du siècle passé (eh oui).

S'installer avec un bon bouquin, dans le transat.

Imaginer que le plus gros effort de la journée va consister à se relever du dit-transat.

Marcher. Nager. Courir. Pédaler.

Voir ses amis. Prendre le temps de prolonger la soirée.

Prendre la route. Aller vers la mer.

Je revendique mon droit à la procrastination, à l'hédonisme le plus banal. Mon programme s'apparente à une mémérisation aigüe, je le sens bien, mais qu'importe. J'aspire au calme, avant et après la nouvelle tempête qui surviendra (les angoisses, que vais-je devenir, blablabla, on va tous dans le mur, etc, etc. ok, je me sors ça de l'esprit tout de suite).

Bon, vous l'aurez compris, je vais éteindre mon ordi un peu, souffler, déconnecter, goûter de nouveau aux plaisirs simples... J'ai encore du mal à réaliser ma chance.

A très vite!

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