vendredi 24 juillet 2009

S'extasier devant des éléphants

Vous allez penser que j'exagère mais entre deux tournées des banques, un redressage de dos-cassé-par-un-trampoline-Mickey et un passage à l'AFPA - ma deuxième maison, même si je ne suis plus censée y aller - je reprends ma valise que je n'avais même pas rangée, pour filer en week-end, ce soir... Hum, je pense qu'il y a moyen de rigoler et je ne manquerai pas de vous raconter ça, je pense, avant de repartir la semaine prochaine.

Quoi, quoi, quoi, un break??

Une relâche?

J'ai des circonstances atténuantes : Trois semaines sans mon loustic, ça me donne envie qu'on s'accorde un peu de temps tous les deux, et j'ai hâte d'être à dimanche soir pour voir sa petite frimousse (légèrement) dorée.

J'ai bien songé à partir une semaine en club avec lui, d'autant que les voyagistes pensent même aux "familles monoparentales" désormais, pragmatisme commercial du monde moderne, mais le devis que j'ai demandé hier m'a refroidie. 1500 euros à deux pour une semaine, all inclusive - certes- à Djerba, ça fait un peu chèros, à mon humble avis. Et encore, la dame, elle m'a bien dit de me dépêcher parce que, à ce prix-là, les places vont vite partir...

Alors, en attendant de dégoter THE affaire of the last minute, nous allons nous promener un peu sur la Côte Atlantique. L'essentiel étant de passer du temps ensemble, loin des prévisionnels, loin de cette quête au local, loin des garde-fous et du train-train.

Les vacances, en somme!

Pour ce week-end, le programme s'avère très musical avec le festival des trois éléphants à Laval. Un break en Mayenne, a priori, ça ne semble pas très glamour mais je trépigne déjà!

Y'a pas à dire, lorsque l'on ne représente plus rien socialement, lorsque l'on se bat pour tenter d'y remédier, on finit par se réjouir d'un rien... Même si, en l'occurrence, le rien est un week-end entre potes et ça, c'est sacré!

A très vite! Have fun...

2 commentaires:

  1. You too, la Mouette, à bientôt !
    Eclates-toi à donf' !
    Oui, comme tu dis, quand on ne représente plus rien socialement, chaque petite joie est un grand bonheur !

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  2. Eh, al Mouette, t'as pas fini de te déprécier ? Tu représentes bien plus que tu veux le croire, même si tu ne peux pas t'offrir des vacances au Maroc avec ton fils. Ca, ça viendra bien un jour.

    Profites bien de ton wekk end et de toutes les petites joies que la vie nous offre.

    Bisettes
    L'oiseau

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