J'y ai sacrifié quelques heures de sommeil, (en même temps, vu les cauchemars, avec un chat qui tombe du 20e étage pour s'exploser dans la cour devant une meute de chiens affamés ou un sale gosse - qui n'est pas le mien, précision qui a son importance - qui me griffe jusqu'au sang, à quoi bon, hein?), je n'ai quasiment pas vu Loulou (ouh la vilaine) de la semaine, mais enfin, j'ai donné un sérieux coup de collier à ma retranscription et hop, c'est fini. Comme dirait PPD le guignol, je vais pouvoir retrouver une vie normale.
Ah oui, c'est vrai, ma vie n'est pas normale. Juste bizarre.
Pas normale dans le sens classique du terme, je veux dire. Avec une entrée, un plat de résistance et un dessert. Non, je prends tout en même temps, je mixe et je vois ce que ça donne. Bon, OK, en ce moment, c'est un peu du gloubi boulga. Par exemple, je m'enferme chez moi pour m'acoquiner avec le clavier et sors pour livrer des tartes, comme si c'était... normal.
Mais enfin, j'ai bon espoir que ma petite cuisine interne repose au calme et que je passe à l'échelon supérieur. Pour l'instant, je penche encore entre cuisine et rédaction.
Cuisine et rédaction?
Rédaction ou cuisine?
Un esprit malin ayant visiblement intégré mon cortex me souffle de concilier les deux. L'autre avorton, chaudement installé à l'opposé, hausse les épaules et me conseille de cibler juste. D'oublier les doux rêves et d'aller au charbon.
Mais c'est quoi cibler juste? S'il s'agit de quitter les eaux troubles de Pôle Emploi, mieux vaut remiser au placard ses envies d'autrement. J'ai bien compris le message, oui oui, le travail n'est pas forcément source d'épanouissement. la réalisation de soi-même peut passer par d'autres voies. Bien.
Donc je me retrousse les manches. Et je songe à ces opportunités qui pointent, alors même que je file ailleurs. J'ai dû décliner l'une d'elles, venue trop tard, option marmiton.
Oh, inutile de regretter, ce n'est pas ainsi que j'aurais pu faire bouillir la marmite, à quelques semaines de la menace ASS. En revanche, j'aimerais ne pas passer à côté d'une autre, très excitante, option scribouillard, et j'espère pouvoir vous en parler bientôt.
J'aime ce goût d'inconnu, de surprises. Et puis, la vie normale, c'est pas un peu ennuyeux?
vendredi 1 octobre 2010
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Si c'est ennuyeux !!!!!
RépondreSupprimerBonne chance, je touche du bois avec les doigts des pieds et des mains croisés ! ;)
Anneso a tout dit !
RépondreSupprimerBon courage, la Mouette.
Bises.
Thierry
idem, ce pourquoije fais bref.
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