J'interromps le cours de cette histoire new-yorkaise, le temps de vous raconter ma légère stupeur, ce soir.
Le vendeur du local, avec qui j'ai signé un compromis de vente, s'impatiente et s'inquiète. Il sent déjà que nous ne signerons, a priori, pas le 15 décembre, comme promis. Mais il doit évidemment attendre cette date pour rendre caduc la promesse de vente - à moins qu'il accepte de reculer la date de signature.
Ce soir donc, je ne sais pas pourquoi, je retourne sur le site d'annonces où j'avais dégoté l'affaire.
Bingo.
Il propose de nouveau le local à la vente. Genre, comme si on n'avait rien signé.
Euh, comment dire, c'est pas très légal, ça, non?
lundi 30 novembre 2009
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Je ne peux pas répondre sur la légalité....mais sur la loyauté, je sais te dire qu'il a tout faux !
RépondreSupprimerBon sang de bon sang de bon sang, j'ai envie d'aller voir ces fichues dames-de-la-banque et leurs comités de momies avec une kalach' en état de marche, du genre "prête, ou je flingue" ! :)))
Comment peut-on espérer faire vivre une économie avec des dindons aussi trouillards ? !!!
Ah, le véreux salopard!!!
RépondreSupprimerJe lui lance des anathèmes ainsi qu'aux "dames de la banque: que le cul leur pèle!
PP
Non, ce n'est pas très légal et si ta promesse de vente s'accompagne d'un dédit de ta part si tu n'achètes pas, il est forcément caduque puisque le délai n'est pas respecté par le vendeur.
RépondreSupprimerMais tu y arriveras à temps, ne t'inquiètes pas.
Bises, la Mouette.
L'oiseau
Euh, Anne, du calme, on dirait moi!!
RépondreSupprimerPP, tout pareil
L'oiseau, tu es d'un optimisme assez impressionnant, je dois dire.