"Je le savais, je le savais!"
La mine défaite, je regardais le sac en plastique. A l'intérieur, des mini-serpents, plein de bêbêtes et une grosse grenouille. Tout ce petit monde grossissait à vue d'oeil. Les laborantins cachaient mal leur dégoût.
Pour m'assurer de la bonne conformité des lieux, j'avais demandé à analyser l'air de la cuisine. Verdict: du microbe en pagaille. Ces saletés en témoignaient.
J'étais en sueur. Et pas mécontente de me réveiller.
Les conditions suspensives, concernant l'hygiène, du compromis, forcément, ça laisse des traces.
A moins que ce ne soit les poivrons cuits, que j'avais enfermés, la veille, dans un sac pour mieux les peler ensuite?
Demain, je reprends mes gouttes. Non, mais vraiment.
mardi 20 octobre 2009
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Ouah ! ça c'est du cauchemar !
RépondreSupprimerDéjà aux médocs ? mais tu vas prendre quoi dans vingt ans ? sois prudente avec ces trucs là !!
Les poivrons, c'est possible, c'est pas ce que je connais de plus digeste non plus, mais entre nous, une sauce tomate sans un poivron et du basilic serait-elle vraiment une sauce tomate, hein ?
Non, Anne, je me contente de plantes, dans mes crises "aigües" de besoin de serénité! Rien de nocif. D'ailleurs, là, je ne prends rien, mais il va peut-être falloir que j'aille chercher deux trois remèdes de grand-mère...
RépondreSupprimerSinon, les poivrons, dans leur soupe, accompagnés de basilic et de tomates, c'est aussi très sympa...