dimanche 6 juillet 2014

Quand Jésus joue à domicile

C'est moi ou le temps est passé en mode accéléré? Pas vu les heures défiler, en cette fin de semaine. Un bon signe, je crois. Franchement, je m'imaginais, telle Bridget Jones, broyer du noir en pyjama pilou tout le week-end. Des petits coups du sort en ont décidé autrement.
 
Par exemple, vendredi, alors que je quittais déjà la cuisine de mon premier stage, premier coup de pouce :
 
Bonne base... de boulet? Allez, on arrête l'autoflagellation et on la joue vantarde et prétentieuse deux secondes (je fais ma mue, je vous préviens)
 
Un bravo du chef qui m'a encadrée cette semaine, ça n'a pas de prix, je vous dis, moi. Pour fêter ça, j'ai fait comme tout le monde vendredi soir: soirée foot au bar.
 
Bon, certes, les hommes physiquement intelligents ne partagent visiblement pas ce déballage de patriotisme aviné, si je me fie à leur absence (ou alors, c'est mes yeux), mais quand on est célibataire, y'a un autre truc de bien: les copines. Les amies, même.
 
Et pis, y'a les copains, aussi. Les amis, carrément.
 
Il y en a deux qui ont débarqué là, avec leur bonne humeur et leur amour de la vie. Bon, quand, en plus, on peut faire le marché et préparer le brunch avec son chef préféré, à domicile, autant vous le dire: pour une fois, on aurait envie que le temps s'arrête, le temps de savourer ce luxe inattendu.
 
Quand je vous dis que je le me la pète... Le dimanche matin, un chef vient me faire la cuisine at home.
 
 
Mais allez, laissons l'horloge repartir... A cette heure, demain soir, j'espère vous raconter ma nouvelle aventure. Un mois de stage au sein d'un restaurant bistronomique, auprès d'un (autre) chef passionné. Ouh la la, je sens que je ne suis pas prête d'enfiler du pilou, moi, avec tout ça...

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