Hier soir, j'écrivais: "A l'heure de ces lignes, papa est encore de ce monde. Ou tout du moins son enveloppe corporelle, tant son âme semble déjà flotter hors de nos murs..."
Vingt minutes plus tard, il partait. Le jour de l'anniversaire de mon fils, qu'il adorait. Comme un signe de l'affection qu'ils se portaient mutuellement.
Le médecin a appelé à 23h59 et nous sommes allées, ma maman et moi, hagardes, le voir dans la chambre qui l'a vu partir. Les traits plus reposés, oui, le teint déjà un peu jaune, le visage émacié et ces yeux fermés, si beaux, si bleus, que l'on ne verra plus.
Papa, où que tu sois désormais, tu le sais mais je te le redis. Je t'aime.
 
 
 
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Riton. Que de tristesse dans tes mots. De tout coeur avec vous. On vous embrasse.
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